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Le 15 septembre 1840, vers six heures du matin, "la Ville-de-Montereau", près de partir, fumait à gros tourbillons devant le quai Saint-Bernard.

Jacques Arnoux propriétaire de "l'Art industriel" , boulevard Montmartre.

Le banquier qui demeure rue d'Anjou ? reprit Deslauriers.

Deux mois plus tard, Frédéric, débarqué un matin rue Coq-Héron, songea immédiatement à faire sa grande visite.

L'aplomb lui revint en songeant que M. Dambreuse n'était qu'un bourgeois, et il sauta gaillardement de son cabriolet sur le trottoir de la rue d'Anjou.

Un peu plus haut que la rue Montmartre, un embarras de voitures lui fit tourner la tête

Les jours suivants furent employés à se chercher un logement ; et il se décida pour une chambre au second étage, dans un hôtel garni, rue Saint-Hyacinthe.

Las de cette solitude, il rechercha un de ses anciens camarades nommé Baptiste Martinon ; et il le découvrit dans une pension bourgeoise de la rue Saint-Jacques, bûchant sa procédure, devant un feu de charbon de terre.

Lui, il allait tous les matins à l'Ecole, se promenait ensuite dans le Luxembourg, prenait le soir sa demi-tasse au café, et, avec quinze cents francs par an et l'amour de cette ouvrière, il se trouvait parfaitement heureux.

Une négresse, qu'il croisa un jour dans les Tuileries, tenant une petite fille par la main, lui rappela la négresse de Mme Arnoux.

Les jours de soleil, il continuait sa promenade jusqu'au bout des Champs-Elysées.

tous les équipages descendaient au grand trot la longue avenue, en se frôlant, se dépassant, s'écartant les uns des autres, puis, sur la place de la Concorde, se dispersaient.

Derrière les Tuileries, le ciel prenait la teinte des ardoises.

Il allait dîner, moyennant quarante-trois sols le cachet, dans un restaurant, rue de la Harpe.

à la brise les rideaux en damas rouge du boulevard Montmartre.

Il n'alla point à Troyes voir son ami, afin d'éviter les observations de sa mère. Puis, à la rentrée, il abandonna son logement et prit, sur le quai Napoléon, deux pièces, qu'il meubla.

Un matin du mois de décembre, en se rendant au cours de procédure, il crut remarquer dans la rue Saint-Jacques plus d'animation qu'à l'ordinaire.

Arrêté depuis quelques minutes au coin de la rue Saint-Jacques, il avait lâché bien vite un large carton qu'il portait pour bondir vers le sergent de ville et, le tenant renversé sous lui, il labourait sa face à grands coups de poing.

je m'appelle Dussardier! chez MM. Valinçart frères, dentelles et nouveautés, rue de Cléry.

Il s'apaisa pourtant, et, d'un air stoïque, se laissa conduire vers le poste de la rue Descartes.

Les deux amis se dérobèrent à sa reconnaissance, sortirent, et allèrent déjeuner ensemble au café Tabourey, devant le Luxembourg.

La sympathie était mutuelle ; ils échangèrent leurs adresses, et Hussonnet l'invita cordialement à l'accompagner jusqu'à la rue de Fleurus.

Il le rencontra un soir, et l'emmena dans sa chambre sur le quai Napoléon.

Enfin ils arrivèrent boulevard Montmartre.

C'était la femme entrevue, l'été dernier, au Palais-Royal.

A huit heures du matin, il descendait des hauteurs de Montmartre, pour prendre le vin blanc dans la rue Notre-Dame-des-Victoires. Son déjeuner, que suivaient plusieurs parties de billard, le conduisait jusqu'à trois heures. Il se dirigeait alors vers le passage des Panoramas, pour prendre l'absinthe.

Après la séance chez Arnoux, il entrait à l'estaminet Bordelais, pour prendre le vermouth ; puis, au lieu de rejoindre sa femme, souvent il préférait dîner seul, dans un petit café de la place Gaillon

Au coin de la rue Montmartre, il se retourna ; il regarda les fenêtres du premier étage ; et il rit intérieurement de pitié sur lui-même, en se rappelant avec quel amour il les avait si souvent contemplées!

nous comptons sur vous, tantôt, à sept heures juste... C'est rue de Choiseul, 24 bis. N'oubliez pas!

Et il alla dîner rue Saint-Jacques, chez un petit restaurateur qu'il connaissait.

Il se fit conduire en fiacre rue de Choiseul.

Ses yeux délaissant à gauche le pont de pierre de Notre-Dame et trois ponts suspendus, se dirigeaient toujours vers le quai aux Ormes, sur un massif de vieux arbres, pareils aux tilleuls du port de Montereau.

La tour Saint-Jacques, l'Hôtel de Ville, Saint-Gervais, Saint-Louis, Saint-Paul se levaient en face, parmi les toits confondus, et le génie de la colonne de Juillet resplendissait à l'orient comme une large étoile d'or, tandis qu'à l'autre extrémité le dôme des Tuileries arrondissait, sur le ciel, sa lourde masse bleue.

parvenu devant le Luxembourg, il n'allait pas plus loin.

Il se donna jusqu'à la rue de Richelieu pour déclarer son amour.

Quand il allait au Jardin des Plantes, la vue d'un palmier l'entraînait vers des pays lointains. Ils voyageaient ensemble, au dos des dromadaires, sous le tendelet des éléphants, dans la cabine d'un yacht parmi des archipels bleus, ou côte à côte sur deux mulets à clochettes, qui trébuchent dans les herbes contre des colonnes brisées.

Tu n'as qu'à venir à l'Alhambra. " (C'était un bal public ouvert récemment au haut des Champs-Elysées, et qui se ruina, dès la seconde saison, par un luxe prématuré dans ce genre d'établissements. ) " On s'y amuse à ce qu'il paraît.

La première qui passa était une mendiante hideuse ; et ils désespéraient du hasard, lorsqu'au milieu de la rue de Rivoli, ils aperçurent une grande fille, portant à la main un petit carton.

Deslauriers l'accosta sous les arcades. Elle inclina brusquement du côté des Tuileries, et elle prit bientôt par la Place du Carrousel

Deslauriers l'accosta sous les arcades. Elle inclina brusquement du côté des Tuileries, et elle prit bientôt par la Place du Carrousel

Mais, tout à coup, ils traversèrent le pont au Change, le marché aux Fleurs, le quai Napoléon. Frédéric entra derrière eux.

Mais, tout à coup, ils traversèrent le pont au Change, le marché aux Fleurs, le quai Napoléon. Frédéric entra derrière eux.

il se trouva sur le pont de la Concorde.

Frédéric ne savait pas combien, depuis un an, chaque jeudi, il avait fait souffrir Deslauriers, quand il se brossait les ongles, avant d'aller dîner rue de Choiseul !

Un soir que, du haut de son balcon, il venait de les regarder partir, il vit de loin Hussonnet sur le pont d'Arcole.

Fais-moi le plaisir d'envoyer bouler la rue de Choiseul.

Frédéric attendit pour descendre que l'on fût arrivé dans la cour; puis il s'embusqua au coin de la rue de Choiseul, et aperçut Arnoux qui remontait lentement vers les boulevards.

Mais, peu à peu, ses espérances et ses souvenirs, Nogent, la rue de Choiseul, Mme Arnoux, sa mère, tout se confondait.

Le quai de la Gare se trouvant inondé, sans doute, on continua tout droit, et la campagne recommença. Au loin, de hautes cheminées d'usines fumaient. Puis on tourna dans Ivry. On monta une rue ; tout à coup, il aperçut le dôme du Panthéon.

La plaine, bouleversée, semblait de vagues ruines. L'enceinte des fortifications y faisait un renflement horizontal ; et, sur les trottoirs en terre qui bordaient la route, de petits arbres sans branches étaient défendus par des lattes hérissées de clous. Des établissements de produits chimiques alternaient avec des chantiers de marchands de bois. De hautes portes, comme il y en a dans les fermes, laissaient voir, par leurs battants entrouverts, l'intérieur d'ignobles cours, pleines d'immondices, avec des flaques d'eau sale au milieu. De longs cabarets, couleur sang de boeuf, portaient à leur premier étage, entre les fenêtres, deux queues de billard en sautoir dans une couronne de fleurs peintes ; çà et là, une bicoque de plâtre à moitié construite était abandonnée. Puis, la double ligne de maisons ne discontinua plus ; et, sur la nudité de leurs façades, se détachait, de loin en loin, un gigantesque cigare de fer-blanc, pour indiquer un débit de tabac. Des enseignes de sage-femme représentaient une matrone en bonnet, dodelinant un poupon dans une courtepointe garnie de dentelles. Des affiches couvraient l'angle des murs, et, aux trois quarts déchirées, tremblaient au vent comme des guenilles. Des ouvriers en blouse passaient, et des haquets de brasseurs, des fourgons de blanchisseuses, des carrioles de bouchers ; une pluie fine tombait, il faisait froid, le ciel était pâle, mais deux yeux qui valaient pour lui le soleil resplendissaient derrière la brume.

Le quai de la Gare se trouvant inondé, sans doute, on continua tout droit, et la campagne recommença.

On s'arrêta longtemps à la barrière, car des coquetiers, des rouliers et un troupeau de moutons y faisaient de l'encombrement. Le factionnaire, la capote rabattue, allait et venait devant sa guérite pour se réchauffer. Le commis de l'octroi grimpa sur l'impériale, et une fanfare de cornet à piston éclata. On descendit le boulevard au grand trot, les palonniers battants, les traits flottants. La mèche du long fouet claquait dans l'air humide. Le conducteur lançait son cri sonore : " Allume ! allume ! ohé ! " et les balayeurs se rangeaient, les piétons sautaient en arrière, la boue jaillissait contre les vasistas, on croisait des tombereaux, des cabriolets, des omnibus. Enfin la grille du Jardin des Plantes se déploya.

Les boutiques défilaient, la foule augmentait, le bruit devenait plus fort. Après le quai Saint-Bernard, le quai de la Tournelle et le quai Montebello, on prit le quai Napoléon ; il voulut voir ses fenêtres, elles étaient loin. Puis on repassa la Seine sur le Pont-Neuf, on descendit jusqu'au Louvre ; et, par les rues Saint-Honoré, Croix-des-Petits- Champs et du Bouloi, on atteignit la rue Coq-Héron, et l'on entra dans la cour de l'hôtel.

Pour faire durer son plaisir, Frédéric s'habilla le plus lentement possible, et même il se rendit à pied au boulevard Montmartre ; il souriait à l'idée de revoir, tout à l'heure, sur la plaque de marbre, le nom chéri; il leva les yeux.

Il courut à la rue de Choiseul.

Parvenu dans la rue de Fleurus, Frédéric s'aperçut qu'il ignorait le nom de la demoiselle.

Le lendemain, dès sept heures, il arriva rue Notre-Dame-des-Victoires devant la boutique d'un rogommiste, où Regimbart avait coutume de prendre le vin blanc.

Heureusement, il se rappela que le Citoyen déjeunait tous les jours, à onze heures précises, chez un petit restaurateur de la place Gaillon.

Le cocher le conduisit rue des Francs-Bourgeois-Saint-Michel

Mais vous le trouverez, je vous le répète, chez Bouttevilain, rue Saint-Martin, 92, deuxième perron, à gauche, au fond de la cour, entresol, porte à droite!

"Mais. rue Paradis-Poissonnière ", répondit le Citoyen étonné.

il lui envoya, par un commissionnaire, un billet lui donnant rendez-vous le lendemain au Palais-Royal, afin de déjeuner ensemble.

"Palais-Royal ! galerie Montpensier."

Ils allèrent ensuite chez un costumier ; c'était d'un bal qu'il s'agissait. Arnoux prit une culotte de velours bleu, une veste pareille, une perruque rouge ; Frédéric un domino ; et ils descendirent rue de Laval, devant une maison illuminée au second étage par des lanternes de couleur.

Frédéric trouva, au coin de la rue Rumford, un petit hôtel et il s'acheta, tout à la fois, le coupé, le cheval, les meubles et deux jardinières prises chez Arnoux, pour mettre aux deux coins de la porte dans son salon.

Tu sauras qu'il y a, rue Joubert, des gants de Suède à trente-six sous magnifiques!

Ah ! ma chère, j'ai découvert, quai Voltaire, à une boutique, un cadre d'oiseaux-mouches empaillés qui sont des amours.

J'ai lu dans la Mode, dit Cisy, qu'à la Saint-Ferdinand, au bal des Tuileries, tout le monde était déguisé en chicards.

Un des bahuts que l'on voyait autrefois boulevard Montmartre ornait à présent la salle à manger de Rosanette, l'autre, le salon de Mme Arnoux.

Comme la chaleur du poêle l'avait étourdie quelque peu, ils s'en retournèrent à pied par la rue du Bac et arrivèrent sur le pont Royal.

Comme la chaleur du poêle l'avait étourdie quelque peu, ils s'en retournèrent à pied par la rue du Bac et arrivèrent sur le pont Royal.

Ils se remirent en marche ; dans la rue de la Paix, elle s'arrêta, devant la boutique d'un orfèvre, à considérer un bracelet ; Frédéric voulut lui en faire cadeau.

Il a cependant écrit, sous ta dictée, l'adresse : 18, rue de Laval.

Alors, il fallait le suivre dans un petit café de la rue Sainte-Anne, que fréquentait maintenant Regimbart.

Frédéric apprit cela dans un journal, et se précipita vers la rue de Paradis.

L'avocat logeait rue des Trois-Maries, au cinquième étage, sur une cour.

ou s'acheter deux belles armures damasquinées qu'il avait vues sur le quai Voltaire

Il avait à verser, le jour même, en l'étude de Me Beauminet, notaire rue Sainte-Anne, dix-huit mille francs, prêtés par un certain Vanneroy.

Le marchand de faïences et son compagnon montèrent, bras dessus, bras dessous, la rue d'Hauteville, prirent ensuite la rue de Chabrol.

Le marchand de faïences et son compagnon montèrent, bras dessus, bras dessous, la rue d'Hauteville, prirent ensuite la rue de Chabrol.

Arnoux marchait doucement, tout en parlant des Galeries du Commerce : une suite de passages couverts qui auraient mené du boulevard Saint-Denis au Châtelet, spéculation merveilleuse, où il avait grande envie d'entrer

Il descendit la rue de Bréda comme une pierre qui déroule, furieux contre Arnoux, se faisant le serment de ne jamais plus le revoir, ni elle non plus, navré, désolé.

Deslauriers dévalait la rue des Martyrs, en jurant tout haut d'indignation ; car son projet, tel qu'un obélisque abattu, lui paraissait maintenant d'une hauteur extraordinaire.

Pour s'en débarrasser, il appela un cabriolet et se fit conduire rue Paradis.

Puis, laissant à droite le Trocadéro, ils traversèrent le pont d'Iéna, et s'arrêtèrent enfin, au milieu du Champ de Mars, près des autres voitures, déjà rangées dans l'Hippodrome.

Après la place de la Concorde, ils prirent par le quai de la Conférence et le quai de Billy, où l'on remarque un cèdre dans un jardin.

Après la place de la Concorde, ils prirent par le quai de la Conférence et le quai de Billy, où l'on remarque un cèdre dans un jardin.

Après la place de la Concorde, ils prirent par le quai de la Conférence et le quai de Billy, où l'on remarque un cèdre dans un jardin.

Et la berline se lança vers les Champs-Elysées au milieu des autres voitures, calèches, briskas, wursts, tandems, tilburys, dog-carts, tapissières à rideaux de cuir où chantaient des ouvriers en goguette, demi-fortune que dirigeaient avec prudence des pères de famille eux- mêmes.

Des promeneurs, dans la rue Royale, remontaient vers le boulevard.

Le premier auquel il songea fut Regimbart ; et il se dirigea tout de suite vers un estaminet de la rue Saint-Denis.

Ils s'arrêtèrent à celle du quai d'Orsay. M. de Comaing, ayant abordé deux capitaines, leur exposa la contestation.

A sept heures dix minutes, on arriva devant la porte Maillot. Frédéric et ses témoins s'y trouvaient, habillés de noir tous les trois.

Un jour, à quinze ans, dans la rue Transnonain, devant la boutique d'un épicier, il avait vu des soldats la baïonnette rouge de sang, avec des cheveux collés à la crosse de leur fusil

Pendant qu'on le mènera au Luxembourg, on peut se jeter sur l'escorte dans le couloir ! Une douzaine d'hommes déterminés, ça passe partout.

Inutile que vous en parliez là-bas! Comme il est tard, mon Dieu! Il faut que je vous quitte. Ah! j'oubliais l'adresse : c'est rue Grange- Batelière, 14.

Le lendemain, comme il se rendait chez Deslauriers, au détour de la rue Vivienne et du boulevard, Mme Arnoux se montra devant lui, face à face.

Le brave garçon était heureux, et dit que ça lui rappelait leurs petites séances d'autrefois, au quai Napoléon

Arnoux faisait de longs déjeuners au Palais-Royal, avec Regimbart et l'ami Compain.

Voulez-vous que je vous attende au coin de la rue Tronchet et de la rue de la Ferme ?

Voulez-vous que je vous attende au coin de la rue Tronchet et de la rue de la Ferme ?

Il se mit donc en recherche, et, vers le milieu de la rue Tronchet, il lut de loin, sur une enseigne: Appartements meublés.

On se réunit demain au petit jour, place du Panthéon. Entre au café Soufflot. Il faut que je te parle avant la manifestation.

il entendit derrière la Madeleine une grande clameur

Il se réfugia vivement dans la rue de l'Arcade.

Quand les étudiants eurent fait deux fois le tour de la Madeleine, ils descendirent vers la place de la Concorde.

Quand les étudiants eurent fait deux fois le tour de la Madeleine, ils descendirent vers la place de la Concorde.

Frédéric se mit à parcourir la rue Tronchet, en regardant devant lui et derrière lui.

Il aborda un commissionnaire, lui mit dans la main cinq francs, et le chargea d'aller rue Paradis, chez Jacques Arnoux, pour s'enquérir près du portier " si Madame était chez elle ".

Puis il se planta au coin de la rue de la Ferme et de la rue Tronchet, de manière à voir simultanément dans toutes les deux.

Puis il se planta au coin de la rue de la Ferme et de la rue Tronchet, de manière à voir simultanément dans toutes les deux.

Dans ce cas-là, elle aurait écrit. Et il envoya le garçon d'hôtel à son domicile, rue Rumford

Elle avait rêvé, la nuit précédente, qu'elle était sur le trottoir de la rue Tronchet depuis longtemps.

Par la rue Duphot, ils atteignirent les boulevards.

C'était la fusillade du boulevard des Capucines.

Alors, par un raffinement de haine, pour mieux outrager en son âme Mme Arnoux, il l'emmena jusqu'à l'hôtel de la rue Tronchet, dans le logement préparé pour l'autre.

A l'angle de la rue Saint-Honoré, des hommes en blouse le croisèrent en criant: " Non! pas par là! au Palais-Royal!

Il descendait vers les Champs-Elysées, d'où les coups de feu étaient partis.

"Non ! pas par là ! au Palais-Royal!"

La veille au soir, le spectacle du chariot contenant cinq cadavres recueillis parmi ceux du boulevard des Capucines avait changé les dispositions du peuple

et, pendant qu'aux Tuileries les aides de camp se succédaient, et que M. Molé, en train de faire un cabinet nouveau, ne revenait pas, et que M. Thiers tâchait d'en composer un autre, et que le Roi chicanait, hésitait, puis donnait à Bugeaud le commandement général pour l'empêcher de s'en servir, l'insurrection, comme dirigée par un seul bras, s'organisait formidablement.

Frédéric s'arrêta forcément à l'entrée de la place. Des groupes en armes l'emplissaient. Des compagnies de la ligne occupaient les rues Saint-Thomas et Fromanteau. Une barricade énorme bouchait la rue de Valois.

Frédéric s'arrêta forcément à l'entrée de la place. Des groupes en armes l'emplissaient. Des compagnies de la ligne occupaient les rues Saint-Thomas et Fromanteau. Une barricade énorme bouchait la rue de Valois.

Frédéric s'arrêta forcément à l'entrée de la place. Des groupes en armes l'emplissaient. Des compagnies de la ligne occupaient les rues Saint-Thomas et Fromanteau. Une barricade énorme bouchait la rue de Valois.

Le premier étage du Palais-Royal s'était peuplé de gardes nationaux. De toutes les fenêtres de la place, on tirait

La place du Carrousel avait un aspect tranquille. L'hôtel de Nantes s'y dressait toujours solitairement

tandis qu'à l'autre bout de la place, un jour cru, tombant par un écartement des nuages sur la façade des Tuileries, découpait en blancheur toutes ses fenêtres.

Ils s'en retournèrent au Palais-Royal. Devant la rue Fromanteau, des cadavres de soldats étaient entassés sur de la paille.

Ils s'en retournèrent au Palais-Royal. Devant la rue Fromanteau, des cadavres de soldats étaient entassés sur de la paille.

Puis ils gagnèrent le jardin des Tuileries, pour respirer plus à l'aise.

Il avait travaillé aux barricades du Quartier Latin, s'était battu rue Rambuteau, avait sauvé trois dragons, était entré aux Tuileries avec la colonne Dunoyer, s'était porté ensuite à la Chambre, puis à l'Hôtel de Ville.

Frédéric le suivit à son bureau de correspondance, place de la Bourse ; et il se mit à composer pour le journal de Troyes un compte rendu des événements en style lyrique, un véritable morceau, qu'il signa.

Vers le milieu du mois de mars, un jour qu'il traversait le pont d'Arcole, ayant à faire une commission pour Rosanette dans le Quartier Latin, Frédéric vit s'avancer une colonne d'individus à chapeaux bizarres, à longues barbes.

Mais Dussardier se mit en recherche, et lui annonça qu'il existait, rue Saint-Jacques, un club intitulé le Club de l'Intelligence.

Le citoyen Jean-Jacques Langreneux, typographe, rue Dauphine, voudrait qu'on élevât un monument à la mémoire des martyrs de thermidor.

De plus, le 22 février, bien que suffisamment averti, il avait manqué au rendez-vous, place du Panthéon.

Je jure qu'il était aux Tuileries! s'écria Dussardier.

Les craintes de Rosanette n'étaient pas vaines ; il fallut rendre les meubles et quitter le bel appartement de la rue Drouot

Elle en prit un autre, sur le boulevard Poissonnière, au quatrième.

Puis il l'emmena déjeuner rue de Chartres, chez Parly; et, comme il avait besoin de se refaire, il se commanda deux plats de viande, un homard, une omelette au rhum, une salade, etc., le tout arrosé d'un Sauterne 1819, avec un romanée 42, sans compter le champagne au dessert, et les liqueurs.

Il avait, par complaisance, un peu trop bu ; d'ailleurs, le grand soleil l'éblouissait ; et, quand ils remontèrent ensemble la rue Vivienne, leurs épaulettes se touchaient fraternellement.

Avec Arnoux, peut- être ? Ne sachant que faire, il continua sa promenade sur le boulevard, mais ne put dépasser la porte Saint-Martin, tant il y avait de monde.

Vers neuf heures, les attroupements formés à la Bastille et au Châtelet refluèrent sur le boulevard. De la porte Saint-Denis à la porte Saint- Martin, cela ne faisait plus qu'un grouillement énorme, une seule masse d'un bleu sombre, presque noir.

"N'était-ce pas toi que j'ai vue, une fois, au Palais-Royal, avec eux deux ?"

Et sa stupéfaction fut si profonde, qu'il se laissa entraîner au poste de la barrière, dans le rond-point même où convergent les boulevards des Gobelins et de l'Hôpital et les rues Godefroy et Mouffetard.

Et sa stupéfaction fut si profonde, qu'il se laissa entraîner au poste de la barrière, dans le rond-point même où convergent les boulevards des Gobelins et de l'Hôpital et les rues Godefroy et Mouffetard.

Et sa stupéfaction fut si profonde, qu'il se laissa entraîner au poste de la barrière, dans le rond-point même où convergent les boulevards des Gobelins et de l'Hôpital et les rues Godefroy et Mouffetard.

Et sa stupéfaction fut si profonde, qu'il se laissa entraîner au poste de la barrière, dans le rond-point même où convergent les boulevards des Gobelins et de l'Hôpital et les rues Godefroy et Mouffetard.

Quatre barricades formaient, au bout des quatre voies, d'énormes talus de pavés ; des torches çà et là grésillaient ; malgré la poussière qui s'élevait, il distingua des fantassins de la ligne et des gardes nationaux, tous le visage noir, débraillés, hagards. Ils venaient de prendre la place, avaient fusillé plusieurs hommes ; leur colère durait encore. Frédéric dit qu'il arrivait de Fontainebleau au secours d'un camarade blessé logeant rue Bellefond

Cependant, à force de répéter la même chose, il finit par convaincre un capitaine, qui ordonna à deux fusiliers de le conduire au poste du Jardin des Plantes.

Ils descendirent le boulevard de l'Hôpital. Une forte brise soufflait. Elle le ranima.

Ils tournèrent ensuite par la rue du Marché-aux-Chevaux. Le Jardin des Plantes, à droite, faisait une grande masse noire ; tandis qu'à gauche, la façade entière de la Pitié, éclairée à toutes ses fenêtres, flambait comme un incendie, et des ombres passaient rapidement sur les carreaux.

Ils tournèrent ensuite par la rue du Marché-aux-Chevaux. Le Jardin des Plantes, à droite, faisait une grande masse noire ; tandis qu'à gauche, la façade entière de la Pitié, éclairée à toutes ses fenêtres, flambait comme un incendie, et des ombres passaient rapidement sur les carreaux.

La rue Saint-Victor était toute sombre, sans un bec de gaz ni une lumière aux maisons.

On lui donna enfin un caporal pour le mener au haut de la rue Saint-Jacques, à la mairie du XIIe arrondissement.

La place du Panthéon était pleine de soldats couchés sur de la paille.

Il alla en courant jusqu'au quai Voltaire.

Le ciel était tout bleu; dans les arbres des Tuileries, des oiseaux chantaient.

Cependant, l'émeute était vaincue, ou à peu près, une proclamation de Cavaignac, affichée tout à l'heure, l'annonçait. Au haut de la rue Vivienne, un peloton de mobiles apparut.

Le samedi, au haut d'une barricade, dans la rue Lafayette, un gamin enveloppé d'un drapeau tricolore criait aux gardes nationaux : "Allez- vous tirer contre vos frères!"

Sénécal, enfermé aux Tuileries sous la terrasse du bord de l'eau, n'avait rien de ces angoisses.

Le père Roque était devenu très brave, presque téméraire. Arrivé le 26 à Paris avec les Nogentais, au lieu de s'en retourner en même temps qu'eux, il avait été s'adjoindre à la garde nationale qui campait aux Tuileries

Après quoi, M. Roque s'en retourna chez lui ; car il possédait, rue Saint-Martin, une maison où il s'était réservé un pied-à-terre

Louis Blanc, d'après Fumichon, possédait un hôtel rue Saint-Dominique et refusait de louer aux ouvriers.

Puis, ayant salué les autres, il s'enfonça dans la rue Hauteville, fit le tour du Gymnase, revint sur le boulevard, et monta en courant les quatre étages de Rosanette.

M. et Mme Arnoux quittèrent le père Roque et sa fille, à l'entrée de la rue Saint-Denis.

Devant le théâtre des Variétés, une patrouille de gardes nationaux les arrêta. Louise dit tout de suite qu'elle allait avec sa bonne dans la rue Rumfort chercher un médecin.

Dix minutes après, Frédéric ne songeait plus à Deslauriers. Il était sur le trottoir de la rue Paradis, devant une maison ; et il regardait au second étage, derrière des rideaux, la lueur d'une lampe.

"Une fois" , reprit-elle, "dans le Palais-Royal, j'ai suis passé à côté de vous!"

C'était une succursale intime de la rue de Poitiers.

C'était jour de marché aux fleurs sur la place de la Madeleine.

Ces entretiens continuèrent dans la rue de la Roquette, bordée par des boutiques, où l'on ne voit que des chaînes en verre de couleur et des rondelles noires couvertes de dessins et de lettres d'or, ce qui les fait ressembler à des grottes pleines de stalactites et à des magasins de faïence.

Au coin de la rue de Marbeuf, il lut sur une planche en grosses lettres: "Maison de santé et d'accouchement tenue par Mme Alessandri, sage- femme de première classe, ex-élève de la Maternité, auteur de divers ouvrages, etc."

Il habitait le faubourg Saint-Germain, et le portier ignorait la rue.

C'était un petit café sur la place de la Bastille, où il se tenait toute la journée, dans le coin de droite, au fond, ne bougeant pas plus que s'il avait fait partie de l'immeuble.

"Oui : rue de Fleurus!"

Il se rappelait le porte- cigares offert au corps de garde, les soirs du quai Napoléon, tant de bonnes causeries, de livres prêtés, les mille complaisances de Frédéric.

"Je vous répète que je l'ai rencontré hier" , dit l'artiste, "à sept heures du soir, rue Jacob."

Il courut chez Arnoux. Le marchand n'était pas dans sa boutique. Mais il logeait toujours rue Paradis, car il possédait deux domiciles.

Et Frédéric se fit conduire chez lui, à Montmartre, rue de l'Empereur.

Toutes les après-midi, elle le promenait dans sa voiture ; et, une fois qu'ils passaient sur la place de la Bourse, elle eut l'idée d'entrer dans l'hôtel des commissaires- priseurs, par amusement.

On posa devant les brocanteurs un petit coffret avec des médaillons, des angles et des fermoirs d'argent, le même qu'il avait vu au premier dîner dans la rue de Choiseul

Son cocher de fiacre assura que les barricades étaient dressées depuis le Château-d'Eau jusqu'au Gymnase, et prit par le faubourg Saint-Martin.

Au coin de la rue de Provence, Frédéric mit pied à terre pour gagner les boulevards.

A peine! Tous les soirs, régulièrement, depuis la rue de Grammont jusqu'à la rue Montmartre, il se traîne devant les cafés, affaibli, courbé en deux, vidé, un spectre

A peine ! Tous les soirs, régulièrement, depuis la rue de Grammont jusqu'à la rue Montmartre, il se traîne devant les cafés, affaibli, courbé en deux, vidé, un spectre



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