Rues, avenues, boulevards, ponts, places, quais...
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Voir rue de Rivoli
dans La Curée
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dans Da Vinci code
(5)
Voir rue de Rivoli
dans Les Misérables
(4)
Voir Rue de Rivoli
dans La ronde de nuit
(3)
Voir rue de Rivoli
dans Fleurs de ruine
(2)
Voir rue de Rivoli
dans L'insurgé
(1)
Voir rue de Rivoli
dans Pietr le Letton
(1)
Voir rue de Rivoli
dans Notre-Dame de Paris
(1)
Voir rue de Rivoli
dans Les mystères de Paris
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Voir rue de Rivoli
dans L'Assommoir
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Voir rue de Rivoli
dans Illusions perdues
(1)
Voir rue de Rivoli
dans L'Education sentimentale
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Voici tous les extraits relatifs à "Rivoli" :
Arrivée au début de l'avenue de l'Opéra, la voiture descendit en trombe la rue de Rohan, ignora le feu rouge de la rue de Rivoli, et franchit le guichet du Louvre. (Da Vinci code)
En regardant la voiture s'éloigner, il réalisa qu'il avait encore le temps de changer d'avis, de repartir vers la rue de Rivoli, d'y prendre un taxi et de retourner se coucher. (Da Vinci code)
Après avoir fait le tour du rond-point dans un crissement de pneus, la petite voiture s'engouffra sous le guichet est du Louvre et tourna à gauche dans la rue de Rivoli, qu'elle enfila vers l'ouest à toute allure. (Da Vinci code)
La Smart longeait les arcades de la rue de Rivoli. (Da Vinci code)
En traversant la rue de Rivoli, il se savait presque arrivé à destination. (Da Vinci code)
Il y avait un commissariat de police dans la cour du Louvre, à droite de la voûte qui menait rue de Rivoli (Fleurs de ruine)
Les arcades de la rue de Rivoli, le long des magasins du Louvre. (Fleurs de ruine)
le pauvre Lucien vit passer de l'autre côte de la grille, sur le trottoir de la rue de Rivoli, un garçon épicier tenant un panier sur sa tête, et sur qui l'homme d'Angoulême surprit deux bouts de cravate brodés par la main de quelque grisette adorée. (Illusions perdues)
Vous ne savez pas, Badingue, cria-t-il, j'ai vu votre patron hier, rue de Rivoli. Il est diablement ravagé, il n'en a pas pour six mois dans le corps (L'Assommoir)
La première qui passa était une mendiante hideuse ; et ils désespéraient du hasard, lorsqu'au milieu de la rue de Rivoli, ils aperçurent une grande fille, portant à la main un petit carton. (L'Education sentimentale)
« La rue du Temple est occupée par Ranvier. Brunel a massé son bataillon rue de Rivoli » (L'insurgé)
Quand ils partirent, pour aller occuper un superbe appartement, dans une maison neuve de la rue de Rivoli, le regard de M. Béraud du Châtel n'avait déjà plus d'étonnement (La Curée)
Tu veux parler de la rue de Rivoli et du nouveau boulevard que l'on perce, demanda sa femme. (La Curée)
Tandis que Renée, installée luxueusement dans l'appartement de la rue de Rivoli, au milieu de ce Paris nouveau dont elle allait être une des reines, méditait ses futures toilettes (La Curée)
Larsonneau, payé grassement, alla monter un cabinet d'affaires rue de Rivoli, où il eut des bureaux meublés avec le luxe d'un appartement de fille. (La Curée)
Et il fallait voir avec quelle légèreté, quelle science et quelle correction d'allures, il venait en dix minutes de la rue de Rivoli à la rue du Havre, arrêtait net son cheval devant la porte du lycée, jetait la bride au valet, en disant « Jacques, à quatre heures et demie, n'est-ce pas ? » (La Curée)
Singulier appartement que ce premier étage de la rue de Rivoli. Les portes y battaient toute la journée ; les domestiques y parlaient haut ; le luxe neuf et éclatant en était traversé continuellement par des courses de jupes énormes et volantes, par des processions de fournisseurs, par le tohu-bohu des amies de Renée, des camarades de Maxime et des visiteurs de Saccard. (La Curée)
L'éternel coup de vent qui entrait dans l'appartement de la rue de Rivoli et en faisait battre les portes, souffla plus fort, à mesure que Maxime grandit, que Saccard élargit le cercle de ses opérations, et que Renée mit plus de fièvre dans sa recherche d'une jouissance inconnue. (La Curée)
Leurs attitudes déhanchées, le reste de certains mots risqués et de certains gestes canailles, emplissaient l'appartement de la rue de Rivoli d'une senteur d'alcôve suspecte. (La Curée)
Lorsqu'il quitta la rue de Rivoli, agrandissant son train de maison, doublant sa dépense, il parla à ses familiers de gains considérables. (La Curée)
Le coup de vent de la vie contemporaine, qui avait fait battre les portes du premier étage de la rue de Rivoli, était devenu, dans l'hôtel, un véritable ouragan qui menaçait d'emporter les cloisons. (La Curée)
Ses bureaux de la rue de Rivoli étaient une enfilade de pièces somptueuses, où l'on ne voyait pas le moindre carton, la moindre paperasse. (La Curée)
Lorsque Saccard entra dans le cabinet de la rue de Rivoli, il trouva son compère bouleversé, donnant les signes du plus violent désespoir. (La Curée)
En bas, le duc voulait absolument prendre Larsonneau dans sa voiture ; sa mère demeurait au Marais, il aurait laissé l'agent d'expropriation à sa porte, rue de Rivoli. (La Curée)
C'est à qui prendra le plus de risques, fera le plus de bruit dans le black-out. Champs-Elysées. Concorde. Rue de Rivoli. (La ronde de nuit)
Après le quartier "Madeleine-Opéra", tout aussi vil que les "Champs-Elysées", tu poursuis ton itinéraire et ce que le médecin appelle ta DE-COM-PO-SI-TION MO-RA-LE sous les arcades de la rue de Rivoli. (La ronde de nuit)
Les Arcades de la rue de Rivoli. Il se passait qualque chose de grave. (La ronde de nuit)
Les montagnes russes épuisées, on avait songé au dîner ; et le radieux huitain, enfin un peu las, s'était échoué au cabaret Bombarda, succursale qu'avait établie aux Champs-Élysées ce fameux restaurateur Bombarda, dont on voyait alors l'enseigne rue de Rivoli à côté du passage Delorme. (Les Misérables)
Marius, qui était sorti de la rue Plumet par le boulevard, traversa l’esplanade et le pont des Invalides, les Champs-Élysées, la place Louis XV, et gagna la rue de Rivoli. (Les Misérables)
la rue de Rivoli fait école jusque dans le cloaque. (Les Misérables)
Prenons par la rue de Rivoli des loups, dit-il. (Les Misérables)
Justement, mon garçon, reprit Pique-Vinaigre, et le quartier de la Cité, qui n'est pourtant pas composé de palais, serait comme qui dirait la rue de la Paix ou la rue de Rivoli, auprès de la Petite-Pologne (Les mystères de Paris)
Le Paris actuel n'a donc aucune physionomie générale. C'est une collection d'échantillons de plusieurs siècles, et les plus beaux ont disparu. La capitale ne s'accroît qu'en maisons, et quelles maisons ! Du train dont va Paris, il se renouvellera tous les cinquante ans. Aussi la signification historique de son architecture s'efface-t-elle tous les jours. Les monuments y deviennent de plus en plus rares, et il semble qu'on les voie s'engloutir peu à peu, noyés dans les maisons. Nos pères avaient un Paris de pierre ; nos fils auront un Paris de plâtre.
Quant aux monuments modernes du Paris neuf nous nous dispenserons volontiers d'en parler. Ce n'est pas que nous ne les admirions comme il convient. La Sainte-Geneviève de M. Soufflot est certainement le plus beau gâteau de Savoie qu'on ait jamais fait en pierre. Le palais de la Légion d'honneur est aussi un morceau de pâtisserie fort distingué. Le dôme de la Halle au blé est une casquette de jockey anglais sur une grande échelle. Les tours Saint-Sulpice sont deux grosses clarinettes, et c'est une forme comme une autre ; le télégraphe tortu et grimaçant fait un aimable accident sur leur toiture. Saint-Roch a un portail qui n'est comparable pour la magnificence qu'à Saint-Thomas d'Aquin. Il a aussi un calvaire en ronde-bosse dans une cave et un soleil de bois doré. Ce sont là des choses tout à fait merveilleuses. La lanterne du labyrinthe du Jardin des Plantes est aussi fort ingénieuse. Quant au palais de la Bourse, qui est grec par sa colonnade, romain par le plein cintre de ses portes et fenêtres, de la renaissance par sa grande voûte surbaissée, c'est indubitablement un monument très correct et très pur. La preuve, c'est qu'il est couronné d'un attique comme on n'en voyait pas à Athènes, belle ligne droite, gracieusement coupée çà et là par des tuyaux de poêle. Ajoutons que, s'il est de règle que l'architecture d'un édifice soit adaptée à sa destination de telle façon que cette destination se dénonce d'elle-même au seul aspect de l'édifice, on ne saurait trop s'émerveiller d'un monument qui peut être indifféremment un palais de roi, une chambre des communes, un hôtel de ville, un collège, un manège, une académie, un entrepôt, un tribunal, un musée, une caserne, un sépulcre, un temple, un théâtre. En attendant, c'est une Bourse. Un monument doit en outre être approprié au climat. Celui-ci est évidemment construit exprès pour notre ciel froid et pluvieux. Il a un toit presque plat comme en Orient, ce qui fait que l'hiver, quand il neige, on balaye le toit, et il est certain qu'un toit est fait pour être balayé. Quant à cette destination dont nous parlions tout à l'heure, il la remplit à merveille ; il est Bourse en France, comme il eût été temple en Grèce. Il est vrai que l'architecte a eu assez de peine à cacher le cadran de l'horloge qui eût détruit la pureté des belles lignes de la façade ; mais en revanche on a cette colonnade qui circule autour du monument, et sous laquelle, dans les grands jours de solennité religieuse, peut se développer majestueusement la théorie des agents de change et des courtiers de commerce.
Ce sont là sans aucun doute de très superbes monuments. Joignons-y force belles rues, amusantes et variées comme la rue de Rivoli, et je ne désespère pas que Paris vu à vol de ballon ne présente un jour aux yeux cette richesse de lignes, cette opulence de détails, cette diversité d'aspects, ce je ne sais quoi de grandiose dans le simple et d'inattendu dans le beau qui caractérise un damier. (Notre-Dame de Paris)
A moins de cent mètres, la rue de Rivoli et la rue Saint-Antoine, larges, claires, avec leurs tramways, leurs étalages, leurs sergents de ville…. (Pietr le Letton)
