Rues, avenues, boulevards, ponts, places, quais...
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Voir rue de Provence
dans Nana
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Voir rue de Provence
dans Les mystères de Paris
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Voir rue de Provence
dans L'Education sentimentale
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Voir rue de Provence
dans Les Misérables
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Voir rue de Provence
dans La Curée
(1)
Voir rue de Provence
dans L'Insurgé
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Voici tous les extraits relatifs à "Provence" :
Au coin de la rue de Provence, Frédéric mit pied à terre pour gagner les boulevards. (L'Education sentimentale)
« En tant que député, il a le droit de faire repousser à coups d’épée et à coups de fusil, ceux qui franchiraient son seuil. Et qui sait ? La rue de Provence n’est pas si loin des Tuileries ! » (L'Insurgé)
Elle avait horreur des hommes, disait-elle ; mais elle en fournissait à toutes ses amies ; il y en avait toujours un achalandage complet dans l'appartement qu'elle occupait rue de Provence, au de (La Curée)
Au point où l’égout Montmartre rejoint le Grand Égout, deux autres galeries souterraines, celle de la rue de Provence et celle de l’Abattoir, viennent faire un carrefour. (Les Misérables)
Voilà la farce: avec mes mille francs je m'en vas acheter une perruque noire; je rase mes favoris, je mets des lunettes bleues, je me fourre un oreiller dans le dos, et roule ta bosse; je me mets à chercher une ou deux chambres à louer tout de suite, au rez-de-chaussée, dans un quartier bien vivant. Je trouve mon affaire rue de Provence (Les mystères de Paris)
afin qu'on me reconnaisse bien; j'envoie les effets rue de Provence, et de plus six couverts d'argent que j'achète boulevard Saint-Denis, toujours avec mon déguisement de bossu. (Les mystères de Paris)
j'achète la blouse que voilà, le bonnet bleu que voilà, une barre de fer de deux pieds de long, et à une heure du matin je viens rôder dans la rue de Provence, devant mon logement, attendant le moment où une patrouille passerait pour me dépêcher de me voler, de m'escalader et de m'effractionner moi-même, afin de me faire emprisonner. (Les mystères de Paris)
Lorsqu'ils se furent perdus dans la rue de Provence, il revint, mouillé, frissonnant. La raie lumineuse barrait toujours la fenêtre (Nana)
La rue de Provence et la rue Taitbout s'enfonçaient, avec les taches vives des becs de gaz, qui se noyaient au loin dans une vapeur jaune. Muffat ne bougeait pas. (Nana)
C'était le coin de la rue Taitbout et de la rue de Provence. Il avait mis une heure pour venir là, dans le grondement douloureux de son cerveau, lorsqu'en cinq minutes il aurait pu s'y rendre (Nana)
Oui, tout juste, rue Taitbout, au coin de la rue de Provence (Nana)
Dites donc, mon cher, cette Nana, c'est pour sûr elle que nous avons vue un soir, au coin de la rue de Provence... (Nana)
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